Depuis le 29 novembre 2019 et malgré une pause estivale, le vendredi était synonyme de portrait chez QiBasket. En tout et pour tout, 63 articles sont venus retracer l’histoire de la Grande Ligue ; un par saison entre 1950 et 2010, avec quelques petits bonus par-ci, par-là. Cette série s’est achevée vendredi 2 avril 2021, avec un article consacré au meilleur joueur de son époque, George Mikan.
En mélangeant les époques et en tentant de réaliser des cinq majeurs compétitifs, notre souhait était de mettre en lumière ceux dont le nom est trop souvent oublié, mais également ceux qui, à notre sens, ne sont pas toujours, ou toujours pas, appréciés à leur juste valeur.
Nous vous remercions pour votre lecture et pour l’ensemble de vos retours. Et si rien n’exclut de voir poindre de temps à autre quelques “hors série” et que d’autres projets sont actuellement dans les cartons, voici venu le temps de vous proposer le grand récapitulatif des articles de cette série :
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Décennie 2000
Saison 2009 – 2010 : Antawn Jamison, quand scorer rime avec longévité
Saison 2008 – 2009 : Yao Ming, le géant de l’empire du milieu
Saison 2007 – 2008 : Emmanuel Ginobili, l’autre main de de Dieu
Saison 2006 – 2007 : Baron Davis, yes we can !
Saison 2005 – 2006 : Andrei Kirilenko, 5×5 tout terrain
Saison 2004 – 2005 : Tracy McGrady, 35 secondes chrono
Saison 2003 – 2004 : Jermaine O’Neal, le “kid” devenu dominant
Saison 2002 – 2003 : Ben Wallace, attention chérie ça va contrer
Saison 2001 – 2002 : Peja Stojakovic, l’ivresse du shooteur
Saison 2000 – 2001 : Stephon Marbury, étoile des parquets
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Décennie 1990
Saison 1999 – 2000 : Grant Hill, just like Mike. Only better
Saison 1998 – 1999 : Jason Kidd, figure tutélaire
Saison 1997 – 1998 : Vin Baker, où l’art de malheurement bien porter son prénom
Saison 1996 – 1997 : Tom Gugliotta, l’éphémère chef de meute
Saison 1995 – 1996 : Arvydas Sabonis, pabaltijo pabaisa
Bonus n°1 (carrière européenne) : Arvydas Sabonis, entre magie et symbole
Bonus n°2 (carrière internationale) : Arvydas Sabonis, another brick in the wall
Saison 1994 – 1995 : Anfernee Hardaway, étoile brillante
Saison 1993 – 1994 : Mitch Richmond, roi parmi les siens
Saison 1992 – 1993 : Drazen Petrovic, la symphonie inachevée
Saison 1991 – 1992 : Shawn Kemp, long may he reign
Saison 1990 – 1991 : Chuck Person, merry fucking christmas, Chuck !
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Décennie 1980
Saison 1989 – 1990 : Isiah Thomas, si petit, tellement grand
Saison 1988 – 1989 : Terry Cummings, complètement daim(gue)
Saison 1987 – 1988 : Xavier McDaniel, rebonds, uppercuts et paniers
Saison 1986 – 1987 : Fat Lever, dans les yeux de Magic
Saison 1985 – 1986 : Le monde de Ralph (Sampson)
Saison 1984 – 1985 : Michael Cooper, travailleur de la mine (de la Moria)
Saison 1983 – 1984 : Bernard, “King of New-York”
Saison 1982 – 1983 : Jack Sikma, boucles d’or et mains d’argent
Saison 1981 – 1982 : Micheal Ray Richardson, guillotiné pour l’exemple
Saison 1980 – 1981 : George Gervin, la caresse du bout des doigts
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Décennie 1970
Saison 1979 – 1980 : Elvin Hayes, self-made man
Saison 1978 – 1979 : Kevin Porter, distributeur automatique
Saison 1977 – 1978 : David Thompson, l’apogée de Skywalker
Saison 1976 – 1977 : Bill Walton, mauvais pied, très bon œil
Saison 1975 – 1976 : Calvin Murphy, pyroman de poche
Saison 1974 – 1975 : Nate Thurmond, le plus vif des frigos américains
Saison 1973 – 1974 : Lou Hudson, sweet criminal
Saison 1972 – 1973 : Tiny Archibald, mille millards de mille sabords !
Saison 1971 – 1972 : Dan Issel, au triple galop
Saison 1970 – 1971 : Gus Johnson, l’envol de l’abeille
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Décennie 1960
Saison 1969 – 1970 : Walt Frazier, envoyez “titre” au 3619
Saison 1968 – 1969 : Dick van Arsdale, le tout premier soleil
Saison 1967 – 1968 : Bailey Howell, harder, better, faster, stronger
Saison 1966 – 1967 : Rick Barry, insupportablement génial
Saison 1965 – 1966 : Lenny Wilkens, la valse à quinze temps
Bonus (carrière d’entraîneur) : Lenny Wilkens, le coach
Saison 1964 – 1965 : Jerry Lucas, mémoire, mémoire, dit moi qui est le plus fort ?
Saison 1963 – 1964 : Chet Walker, dans l’ombre des géants
Saison 1962 – 1963 : Tom Heinsohn, the blood was green
Saison 1961 – 1962 : Richie Guerin, enfant du Bronx, légende de Manhattan
Saison 1960 – 1961 : Dolph Schayes, syracusain statufié
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Décennie 1950
Saison 1959 – 1960 : Tom Gola, the first mister all around
Saison 1958 – 1959 : Bill Sharman, le lieutenant Celte
Saison 1957 – 1958 : Maurice Stokes, le destin est une putain
Saison 1956 – 1957 : George Yardley, deux mille et une façons de marquer (l’Histoire)
Saison 1955 – 1956 : Bob Pettit, où l’art de terriblement mal porter son nom
Saison 1954 – 1955 : Larry Foust, le prince de Fort-Wayne
Saison 1953 – 1954 : Slater Martin, petit mais vaillant
Saison 1952 – 1953 : Neil Johnston, légende parmi les pionniers
Saison 1951 – 1952 : Paul Arizin, voyage entre l’armée et la balle orange
Saison 1950 – 1951 : George Mikan, première superstar du basketball